Germain des loups

20.00

« Non les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux » … Germain Fourneron a suivi la sienne, fidèle à ses idéaux et à son cœur. Peut-on choisir de se libérer des règles de la société pour suivre ses propres convictions ?

Catégorie : UGS : LIV-GER

Description

« Non les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux » … Germain Fourneron a suivi la sienne, fidèle à ses idéaux et à son cœur. Peut-on choisir de se libérer des règles de la société pour suivre ses propres convictions ?

Utopiste certainement, mais libre. Il nous montre que s’il n’est pas simple d’être heureux tous les jours, il est possible de vivre pleinement ses passions selon ses croyances, même si cela est au prix de l’exclusion ou de la marginalité.

Germain savait que les choses pouvaient changer si l’on s’en donnait les moyens !

Ce livre conte l’histoire d’un amoureux de la nature, dont le plus vieux rêve était de faire connaître le loup et d’en changer l’image aux yeux des hommes.

Personnage complexe, considéré comme « original » voire « marginal », Germain Fourneron était connu en Creuse pour être un passionné de loups. Il crée un parc privé en 1986/1987, « L’enclos des loups » à Saint-Maixant en Creuse. Prévu pour accueillir une quinzaine de loups, il en aura eu successivement près de 90 pendant 30 ans.

Germain Fourneron faisait partie de ceux qui ont milité pour la création d’un parc à loups dans le département de la Creuse présentant les grandes sous-espèces. Son idée sera reprise par les acteurs locaux et trouvera une concrétisation avec l’ouverture du Parc aux loups de la forêt de Chabrières.

Mais au fond, que voulait Germain ?

Germain, par-dessus tout, voulait la compagnie de ses loups, de jour comme de nuit. Dormir près d’eux, les nourrir, les observer et tout dire de ce qu’il savait d’eux. Partager avec les visiteurs leurs rites ou leurs amours, afin de les convaincre et de les amener à une meilleure compréhension et à une tolérance.

Oui, Germain voulait expliquer, restituer, ce qu’il avait compris du peuple loup, transmettre aux grands comme aux petits sa vision d’un monde meilleur.

Germain voulait… peut être une plaque commémorative à l’entrée du parc aux loups de Chabrières, pour être au plus près de ses amis les loups. On lui avait promis, mais les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.

Germain a-t-il atteint son but, touché du doigt son rêve ? Sa détresse était grande. Il n’était pas heureux car aucune paix ne l’habitait et il en voulait à beaucoup, sinon à tous. Et cela, les loups le savaient …